Rédactions

Postez vos rédactions ici ! En voici une à moi !
C'est un texte que j'ai fait parce que ma classe va participer au concours Images Imaginaire.
Je vais lui apporter quelques modif's plus tard.. Comme la description du tableau de la Tête de la Méduse.

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C'etait un jour d'hiver, a Paris.
Il neigeait beaucoup, la circulation était bloquée. J'avais malgré tout réussit à atteindre le musée du Louvre, après deux heures de route. Encore quelques minutes pour trouver une place de parking, et je commençai à dévisager les différentes oeuvres de cet endroit mythiques où sont entreposés des siècles d'histoire. Au bout d'un moment, je passe devant la fameuse Joconde, avec cette impression étrange dont tout le monde a déjà entendu parler : Elle nous suit du regard ! C'est incroyable ! A vrai dire, ce n'est qu'une peinture me direz-vous ? Mais malgré tout, même en sachant fermement que ce n'est qu'un amas de peinture sur une toile, il y a cette sensation qui persiste et qui nous fait croire que cette Mona Lisa est bien vivante.
Mais passons à la suite, ce n'est pas à la joconde qu'est destiné mon témoignage, mais à une peinture que je n'ai pas osé regarder.
C'est une peinture de 68 cm de hauteur, et de 118 cm de largeur. Peinte par Pierre Paul Rubens vers 1617, le visage décapité d'une Méduse. La légende raconte que quiconque croise le regard de la Méduse sera pétrifié.
Quelques mètres plus tard, donc, me voilà devant une magnifique statue, représentant une femme sulfureuse et d'une beauté éblouissante. Je regarde derrière moi, j'aperçois un homme de la sécurité. Soudain, je le vois s'immobiliser et sa peau devenue grisâtre, couleur pierre. A ce moment là, l'inquiétude et l'incompréhension me gagnent, tandis que je ne réalise qu'à moitié ce qui se passe devant mes yeux. D'autres hommes de la Sécurité arrivent en groupe à cet instant. Je demandai vite des informations sur cette situation intriguante, et néanmoins appeurante, et l'un d'eux me répondi :
<< C'est une peinture que nous venons de mettre en exposition. La Tête de Méduse. Comme dans la mythologie, cette peinture a apparemment le don de paralyser ceux qui la regardent. Excusez-nous, mais nous devons couvrir cette toile pour éviter plus de problemes.>>
Une action délicate commenca. Deux vigiles s'approchèrent de la peinture très lentement. Sans regarder un moment la peinture, en avançant à tâtons, ils finirent par toucher les contours de la toile. Les hommes la prirent doucement et la posèrent face contre sol pour éviter tout autre incident. Un troisieme homme donna une "drap" aux deux premiers pour couvrir la peinture. Un groupe de personnes ahuries s'était alors formé autour de l'évènement.
Des médecins se dépêcherent d'examiner les statues qui s'étaient forméessous mes yeux. Ils les déplacèrent dans un endroit inaccessible au public, et la peinture, toujours couverte par le morceau de tissu, fut mis en lieu sûr.
Après cet évènement, le Musée ferma et je sortis avec les visiteurs restant. Un débat avait comencé entre eux, mais je restais en dehors de leur conversations qui devaient être futiles.
Je sortis donc du lieu d'exposition et à la sortie, des caméras, photos et flash nous bombardèrent pour savoir ce qui se passait. Sur le coup de l'étonnement, je leur dis que je ne savais rien. Les autres, eux, en profitèrent pour se mettre sous les projecteurs. Comme à leur habitude, les journaux vont surmédiatiser l'histoire...
Une fois arrivé dans le parking, le calme revint, malgré quelques bruits de moteurs et de dérapages. Je mis la clé dans la serrure de ma voiture, puis, terrorisé, je vis une couleuvre sur le siège passager. Puis, des serpents apparurent ainsi partout dans ma voiture. Je clignai des yeux, puis j'apparus dans ma chambre, sur mon lit.
Des sueurs froides parcouraient mon corps. Je regardais le mur, or je vis la peinture de la Tête de Méduse qui me regardais !


Sen'Ken'.

Voili voilou ^^ Je suis tout content, j'ai passé le temps

J'ai changé de place le sujet XD

Elles est très bien ta rédac' mon ptit ! ^_^ J'aime bien, on imagine pas que c'est un rêve ^^ Pas mal du tout

J'mets la mienne ^_^



Je descendais du minuscule avion. Après une vingtaine d’heures dans les airs, toucher la terre ferme faisait du bien. Là-bas, les gens semblaient différents de chez nous… Ils se promenaient pieds nus, et étaient vêtus assez légèrement !
Des percussions parvenaient jusqu’à mes oreilles, cela me donnait l’impression qu’une fête ou un culte était sur le point d’être célébré. Un homme tira sur la manche de ma veste, ce qui me fit sortir brusquement de mes rêves. Il me conduisit jusqu’à la case dans laquelle j’allais habiter le temps de ma petite enquête journalistique. Ma maison temporaire était étonnamment grande, en tout cas plus que je ne me l’imaginais. Je disposais d’un grand lit de paille, ce qui était du luxe pour les Hawaïens, d’une petite salle de bain sans eau courante, je devrais donc aller chercher de l’eau dans le puits du village, et enfin, une jolie petite cuisine avec tout le nécessaire… Bonne journaliste, je m’adaptais à n’importe quel endroit, je me sentais même à l’aise sur cette île.
Une fois installée, j’allais me promener pour tâter le terrain et ainsi mieux répondre aux questions que se posaient les Français sur Hawaï. J’allais flâner non loin du cratère du volcan Mauna. Je m’approchais de ce puits de lave, et petit à petit des voix, pas celles d’adultes, mais plutôt d’enfants assez jeunes se firent entendre. Ici, la chaleur commençait à se faire ressentir, mais la curiosité m’incita à aller vers ces chants. Ils étaient mélodieux, très agréables à l’écoute, je vis enfin qui en étaient les auteurs. Certains bambins dansaient autour d’un feu en chantant, tandis que d’autres fabriquaient quelque chose… Sur le sol était disposé des dents, du bois, des plumes et diverses choses. La forme de leur œuvre me fit sourire, c’était une sorte de statuette pour les cultes rendus aux dieux, je me demandais lequel pouvait représenter cette gravure. Je m’assis derrière un bosquet pour admirer ces jeunes enfants, leur permettant ainsi de ne pas les déranger. Cette divinité prenait rapidement forme, elle disposait à présent d’un immense sourire plein de dents et de grands yeux nacrés, un était légèrement plus bas que l’autre, cela donnait un genre enfantin à cette effigie. Je me sentais heureuse d’avoir pu assister à la création de quelque chose d’aussi magique.
Au bout d'un moment, cette magie ne devint plus qu'une expression caractérisant l’instant, car devant nos regards ébahis et contre toute attente, une lumière d'un bleu intense et que je ne revis jamais depuis, jaillit de la poupée. Elle nous captivait, j’avais l’impression qu’elle allait nous engloutir et qu’on atterrirait dans un lieu inimaginable. Je m’attendais à tout ! La terre commença à trembler, j’essayais de garder mon calme… Un vent très puissant commença à naître… Un filet de fumée surgit du volcan, dès lors, je pris peur… Allait-il entrer en éruption ? Des milliers de questions me vinrent soudain à l’esprit. Mais cette curiosité me disait de rester là, de ne pas rater le moindre événement ! Donc je restais, tentant d’être aussi sereine que possible, ce qui était extrêmement dur vu les circonstances. Cette fumée, telle un nuage volcanique se transforma en une sublime déesse, vêtue d’une toge bleutée qui brillait de mille feux ! Elle était gracieuse, d’une blondeur incroyable, ses yeux étaient magnifiquement gris, elle était d’une beauté éblouissante... Brusquement, le silence total revint, je n’osais point respirer ! Les enfants décolèrent du sol et se mirent à tournoyer autour de cette beauté protectrice de leur peuple. Une musique très rythmée débuta, et la voix charmeuse de la divinité chanta un poème d’une telle beauté que le souffle m’en fut coupé ! Et je ne sais par quel miracle, mais le cratère devint telle une formidable forêt très fleurie qui sentait merveilleusement bon, de plus, les oiseaux sifflotaient de tous les côtés ! Le paradis était sur terre…
Ensuite le trou noir, je ne me souvins plus de rien, à par de l’arrivée de personnes affolées se ruant sur moi, et hurlant. Je compris enfin, quand je me réveillai dans la case du chef de la tribu que la déesse s’était rendue compte de mon intrusion et m’avait attaqué ! Alors, je fus rapatriée en France, dès que cela fut possible. À l’hôpital, je racontais mon aventure à qui voulais l’entendre, mais rapidement les gens disaient que j’avais une araignée au plafond. Le psychiatre vint me voir, il me demanda comment c’était passé mon séjour donc je lui racontai. Quelques jours plus tard, j’étais transférée dans un asile. Et mon article ne fut jamais publié...

Lilly...